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Cimetière, cœmeterium, lieu saint destiné à enterrer les corps des fidèles morts dans le sein de l'église catholique. Ce mot vient du grec et veut dire dortoir ; je dors, parce que dans les principes de la religion, les fidèles défunts ne sont pas proprement morts, ils dorment en attendant la résurrection générale
LA MORT---------------L'ÄME HORS.
Dans le mot mort nous retrouvons la lettre M (mère), dans la lettre T (terre) suivie de O (eau), R (air), ils font partis des éléments qui composent notre Mère Terre. Il en manque un, l'élément feu qui lui apparait d'une façon beaucoup plus subtil. Au moment du décès d'une personne on dit qu'il s'éteint, le jour de la retranscription sur son acte de décès il sera marqué feu........Ils sont les quatre éléments que constituent notre terre.
Sous l’empire de Charlemagne pour rompre tout à fait avec la coutume païenne de la crémation des dépouilles, il est prescrit de donner une sépulture aux défunts. Ceci en référence aussi au jugement dernier et à la résurrection des morts, réduits en cendres cela ne convenait pas. Mais avec cette idée que plus on est proche de Dieu, plus on est sous sa protection, cela amène à choisir de se faire inhumer dans, et autour de l’église. Pourtant, déjà plusieurs capitulaires de Charlemagne interdisaient les inhumations dans les églises sauf celle des évêques, des abbés et des prêtres. Les interdits sont réitérés jusqu’à la fin du IXe siècle, Mais sans grand effet. L'usage d'enterrer dans l'église s'introduisit aussi insensiblement : on n'y enterra d'abord que les personnes distinguées par leur sainteté, puis les ecclésiastiques, ensuite les hommes constitués en dignités; enfin, depuis plus de huit cents ans, on y enterre les laïques indifféremment.
Juridiquement, les tombes étaient de deux sortes : celles des fondateurs d'églises et de chapelles leur appartenaient en toute propriété ainsi qu'à leurs descendants ou successeurs; par ailleurs, des portions du sous-sol d'une église pouvaient être concédées sans limitation de durée à des familles ou à des corps organisés. Enfin le clergé pouvait autoriser la simple inhumation dans le sol de l'église, sans qu'elle s'accompagne d'une concession.
Pour les chrétiens, la croix, en raison de la condamnation et de la mort de Jésus est symbole du mystère pascal et signe de salut pour l'humanité. Elle révèle l'amour infini de Dieu dans le don salvafique du Christ mort et ressuscité. Elle nous rappelle notre baptême par lequel nous devenons enfants de Dieu. Une grande croix au centre du cimetière donne l'espace, le symbole d'un lieu dominé par la spiritualité chrétienne. Le cimetière lieu de paix et de sérénité par laquelle la mort est avant tout l'événement scellé de l'itinéraire de tout homme.
Mais elle est encore bien plus, elle concentre un endroit de repos éternel pour constituer une mémoire collective, un passage dans l'aù- delà. Elle est la destinée humaine, un symbole ascensionnel, les âmes s'élevent vers Dieu.
Tombes funéraires, toutes surmontées d'une croix, ouvrages destinés à perpétuer le souvenir et à matérialiser l'emplacement. Le symbolisme chrétien investi les objets, tombes, croix,peintures, La croix découpe, ordonne et mesure les espaces sacrés des cimetières et églises.
Au détour de certains lieux, des formes pensées se créent,entités,esprits au plus classique du sens du terme désignent des ressentis, des visions, des apparitions étranges qui peuvent se manifester en ces lieux.
Loi d’inhumation
Jusqu'au XVIII ème siècle, on avait le droit d'enterrer des morts dans l'église. Le roi Louis XVI interdira cette pratique le 10 mars 1776 pour des raisons de « salubrité de l'air » Il était très fréquent d'enterrer les morts dans l'église et dans les registres on trouvait : «enterré dans l'église», «dans les tombeaux de ses ancêtres», «dans les tombeaux de la fabrique». On devait même payer un droit pour avoir droit à un tombeau dans l'église c'était souvent les nobles, ou les personnes qui faisaient des dons à l'église qui avait des tombeaux dans l'église... on trouve encore des vieilles tombes dans des églises... en latin généralement à même le sol...
De chapelles, en cimetières nous avons rencontrés de belles restaurations, de belles mises en valeur de ces lieux qui ont tant à nous raconter, à nous enseigner. Mais hélas, aussi parfois des choix plus hasardeux, douteux, peut-être dus à l'ignorance d'un édile, l'égo d'une famille ou à une concession acquise à perpétuité par un ancêtre, par exemple une pierre tombale ou un caveau flambant neuf à côté d'une tombe abandonnée à la croix moussue et envahie par le lierre.
Pouquoi, ne pas réserver un carré disons "VIP" pour les adeptes du flambant neuf bien policé et laisser dormir pour l'éternité nos tombes oubliées qui outre être abandonnées sont écrasées par ces "buildings " ?
Ces tombes avec leurs croix font partie de notre patrimoine au même titre que la chapelle, ou le château du lieu, nous leur devons un devoir de mémoire, de respect à ces oubliées des cimetières .
Patrimoine en Aquitaine
Qui n'a jamais été saisi par l'immense beauté de notre patrimoine! Qui n'a jamais regardé vers l'infini et a abandonné ses communes mesures pour revivre une page d'histoire! C'est oser s'aventurer au delà des certitudes, c'est aussi l'aptitude à nous interroger sur notre passé et sur ceux qui ont su à travers des formes trouver l'acte de géométrie pour bâtir et laisser des traces d'un savoir faire. Bien des hommes, bien des femmes , bien des enfants ont embrassé la foi à travers de cruels épisodes de guerres, d'épidémies et de sacrifices face à la réalité de cette page d'hitoire.
A travers les décennies, il y en a un autre qui a traversé de nombreuse péripéties celui de nos édifices religieux. Les traces de leur passé s'est arrêté et s'est figé pour nous permettre à chacun de retrouver et de renouer avec cette histoire lointaine. Si l'on est en droit d'avoir une vision strictement romantique du patrimoine, on peut aussi envisager de prêter à ce dernier des vertus pédagogiques pour nous aider à aiguiser notre jugement sur la civilisation moderne. Une lecture attentive des présentations proposées, qu'elle soit poêtique, scientifique, selon les goûts et les besoins de chacun, ne peut que vous guider dans vos choix futurs.
Essayer de comprendre ce patrimoine, c'est déjà tenter de démêler un écheveau où interviennent tant de paramétres qu'il est difficile de cerner lesquels des facteurs, naturels et humains ont la primeur pour expliquez cette exeptionnelle variété d'expressions. C'est bien de plusieurs dizaines de types d'églises que nous allons présenter afin d'entrer dans le monde de la géobiologie pour accéder dans le détail de ces architectures afin de comprendre le savoir de nos anciens constructeurs.
Toutes belles, toutes étonnantes, elles nous donnent toutes envie de s'arrêter pour mieux les connaître, et surtout de pouvoir approcher le mystère de leur singularité. De cette diversité, nous ne tiendrons compte que des grands traits, ceux qui parlent d'évidences, des formes, de proportions, de symboles, des réseaux et bien sur des matériaux.
Notre approche pour les chapelles romanes n'est pas le fait du hasard. L'invisible dont personne ne parle, les mystères, les légendes ne font qu'éveiller nos sens.Fondé, ou infondé nous allons à travers la géobiologie essayer de donner un sens, ou plustôt nous allons soulever un savoir ancêstrale resté au fond d'un tiroir qui appartenait à la liturgie.
Au 21 eme siècle, à travers toute notre évolution avons nous oublié que la technologie est un produit de la terre! Ce produit là est de l'énergie puisque il est issu de la terre. Alors pourquoi ne pas vouloir mieux regarder, mieux comprendre ce phénomène qui a appartenu durant des siècles à des générations qui ont su à travers leurs constructions nous laisser leur savoir sur la captation des énergies.
Calvaires, croix de chemin
Elles sont là, dressées comme pour nous rappeler quelque chose, témoin d'un passé qui a façonné notre religion chrétienne, elles marquent nos chemins. Symbole ancien, symbole protecteur guidant le voyageur, symbole du recueillement où la foi chrétienne était signifiée par de nombreuses croix jalonnant nos chemins, nos villages et nos cimetières.
Croix Sainte Eulalie Cauzac 47470
Elles montraient l'avancé du christianisme. Elles étaient aussi le lien du chemin du dernier voyage celui de la mort.
Croix chapelle Saint Julien Couyssel 82150
Etude calvaire Saint Amans Saint Sardos
Calvaire Saint Amans Saint Sardos 47360
Figure 1
Implantation du Calvaire Saint Amans selon la liturgie:
Figure 1: Elle représente le sous-sol aquifère (eau) et les réseaux géomagnétiques (champ magnétique). En voici la légende:
- Bleu veine d'eau
- Vert réseau Hartmann
- Rose réseau Curry
- Jaune réseau solaire
- Marron courant tellurique
Calvaire vient du latin "calvarius. Le calvaire représente Jésus en croix. C'est le lieu de prière. Quelquefois implantés pour marquer des événements marquants comme les grandes pestes ou les guerres.
Figure 2
lieu dit Rouet Saint Aubin 47150 croix dordogne 24 Lamothe Fey 47300
Les Bordiers Laroque Timbaut 47340
Croix route de Saint Avit 47350 Croix Cazideroque 47370
Croix église Saint Laurent 47410
Croix de chemin Auradou Croix Sainte Agathe Dolmayrac