Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
LIEUX D'ENERGIES
Pages
Derniers commentaires
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 271 498
27 avril 2012

Dédicace

La dédicace des l'églises

La dédicace des églises écrit par Jules Baudot bénédictin de Farnborough 1909

Historique

           Le mot dédicace n'eut tout d'abord, dans le langage ecclésiatique, la signification que nous lui donnons aujourd'hui, parce que le rite désigné actuellement sous ce mot se forma peu à peu. Primitivement , dans l'antiquité liturgie romaine, il semble bien que toute la cérémonie consistait dans la consécration d'un autel dressé sur le tombeau d'un martyr et dans la célébration solennelle de la messe sur cet autel. L'événement attirait souvent un concours considérable de fidèles, on faisait suivre la cérémonie d'un repas et sous prétexte d'honorer la mémoire des martyrs, on tomba dans les excès et désordre des païens qui avaient leurs anniversaires marqués par les sacrifices. Il fallut réprimer ces abus de dédicaces.

           En Gaulle et ailleurs, il y eu bientôt un rite spécial, occasionné par la transformation de temples païens en églises cathholiques, on procédait d'abord à des purifications préalable. Bientôt le même rite de purification s'étendit aux nouvelles églises et on y joignait des onctions (application d'huile sainte pour la consacrer à Dieu) tant pour l'édifice tout entier que pour l'autel. C'est le rite de la consécration ou dédicace des églises. Plus tard fut institué une cérémonie plus simple pour les oratoires ou même pour les grandes églises dont on ne pouvait pas faire immédiatement la consécration.    

           La consécration ou dédicace des églises peut se définir comme une action sainte ou plustôt un ensemble d'actions saintes et solennelles, déterminées par l'Eglise et dont l'effet est de rendre un édifice, sacré de profane qu'il était, dédié pour toujours à Dieu et son culte, par un ministre légitime, afin que dans l'édifice on puisse accomplir les fonctions divines ecclésiastiques. 

Dédicace église 

  

    Il y a dans une église deux choses que l'on doit consacrer:

    Le Temple 

  •     L'autel

 

 

 Les règles canoniques et liturgies du rite de la dédicace et son symbolisme.

              Quelles que soient les difficultés que l'on éprouve à découvrir l'origine des cérémonies et rite de la consécration des églises, on doit tenir à la correction du Pontifical romain faite en 1596 par les soins du pape Clément VIII, défense étant insérée dans la bulle de publication de rien ajouter, changer ou retrancher à ce qui est prescrit pour l'accomplissement des cérémonies pontificales.

 Préparatifs: Il est permis d'accomplir la dédicace des églises n'importe quel jour de la semaine ou le dimanche.Si une coutume existe déjà il faut la respecter.

Obliguation de jeûner la veille de la cérémonie: Elle existe pour l'êveque consécrateur et pour ceux qui ont sollicité la faveur d'avoir une église consacrée.

Préparation des saints religieux: La consécration d'une église ne peut se faire licitement sans la consécration d'un autel fixe.La table de cet autel doit être de pierre et d'un seul morceau. On y fait graver cinq croix, une au milieu et une à chacun des quatres coins. En avant de la croix du milieu on fait pratiquer une cavité assez grande pour renfermer les saintes reliques. On prépare une pierre qui devra fermer l'entrée de cette cavité. Cette pierre sera scellée au cours de la cérémonie après qu'on aura déposé les saintes reliques dans le sépulcre (tombeau). Pour la quantité des reliques, il faut que ce soient des reliques de saints, et non simplement de bienheureux, de plusieurs saints et non simplement d'un seul. La veille du jour ou doit se faire la concécration de l'église, le Pontife (titre donné aux évêques) s'étant procuré de ces reliques, les enfermera dans une boite convenable avec trois grain d'encens (résine aromatique, tirée principe d'une plante d'Arabie et d'Ethiopie). Il y joindra une attestation par écrit de l'acte de consécration qui va s'accomplir, et scellera le tout de son sceau. Puis il exposera les reliques dans un endroit distinct de l'église dont il doit faire la consécration sur une table convenablement ornée, avec deux flambeaux allumés. Les reliques demeurent ainsi exposées toute la nuit.Dédicace autelVigiles : Le Pontifical romain dit que devant les reliques exposées, on chantera les nocturnes (qui a lieu pendant la nuit) et laudes (prières liturgiques à l'aurore) des saints dont on a les reliques.  

Ministre consécrateur: Le ministre ordinaire de la consécration des églises est l'évêque. Le droit canon qui en décide ainsi, s'appuie sur la pratique universelle de l'Eglise.L'évêque ne peut se faire suppléer dans cet office par un simple prêtre. Le droit de consacrer les églises appartient à l'évêque du lieu pour toute l'étendue de son diocèse. Dans des temps anciens, les évêques se réunissaient nombreux à l'occasion de la consécration des églises, et plusieurs se partageaient souvent les parties de la cérémonie.

Essence de la consécration: L'essence de la consécration de l'église doit être placée dans l'onction (appliquation d'huile sainte pour la consacrer à Dieu), avec le saint chrême (Huile bénite mêlé de baume, utilisée pour les consécrations), des douzes croix qui sont sur les mures et dans les paroles que le pontifie prononce au moment de l'onction. 

Les conséquences de la consécration: Pour tous ceux qui sont attachés à l'église consacrée, il y a obliguation de célébrer cette dédicace, plutôt en vertu d'une coutume que d'une loi écrite. Dès le fin du IV eme siècle, la pèlerine Ethérie nous atteste l'existance de cette pratique à Jérusalem. Chaque années, au jour anniversaire de la consécration, à moins que l'Evêque n'ait fixé, une fois pour toutes, un autre jour, le clergé de l'église consacré récite l'office et célèbre la messe du commun de la dédicace en tenant compte des rubriques générales.  

 I Le rite actuel de la dédicace au point de vue liturgique

 
Préludes:
                1  Au préalable, le pontife vient faire l'inspection de l'église à consacrer pour s'assurer par lui-même que tout est prêt. Il fait allumer les douzes cierges qui surmontent les douzes croix autour des murs, sort de l'édifice, en fait sortir tous ceux qui s'y trouveraient, laissant uniquement à l'intérieur un diacre (serviteur) qui en fera la garde, puis les portes se ferment. Devant les reliques exposées, l'Evêque assisté du clergé, récite les prières préparatoires. Elles se composent aujourd'hui des septs Psaumes (champ liturgique) de la Pénitence, de l'invocation à la sainte Trinité, et de la premiere des Litanies des saints.
                  Après les septs Psaumes de la pénitence, l'Evêque se revêt de l'amict, de l'aube, du cordon, de l'étole et de la chape blanche, puis se rend avec le clergé à la porte extérieure de l'église, non content de s'être reconnu comme pécheur, il proclame ici son impuissance, fait invoquer par le choeur l'assistance des trois personnes divines, demande leur intervention pour l'accomplissement de l'oeuvre, et comme effrayé de l'entreprise, il se prosterne de nouveau pendant qu'on invoque tous les saints du ciel.
                2  Alors, par des exorcismes et bénédictions, il prépare l'eau qui doit servir à l'aspertion extérieure. Les trois aspersions qui se succèdent ont pour objet de ravir l'influence du démon l'édifice avec le terrain sur lequel il est bâti, d'assujettir  cet édifice pleinement à Dieu qui a présidé à la construction, en a uni toutes les parties et daigne le visiter en la personne de son ministre.
                    C'est la pensée qu'expriment les oraisons récitées après chaque aspersion. On remarquera ainsi que l'Evêque faisant cette aspertion ne cesse de répéter " Iin nomine Patris" c'est au nom de la sainte Trinité qu'il prétend agir. A ce titre aussi, il demande par trois fois qu' on lui ouvre les portes. Ainsi la cérémonie nous fait entendre la difficulté d'arracher au démon les éléments matériels depuis qu'il est devenu le maître par le péché de l'homme.Parvenu à se faire ouvrir les portes, l'Evêque prend possession de l'édifice, en marquant le seuil du signe de la croix, annonce la paix au nom du Sauveur Jésus qui choisit ici sa demeure.
                3 L'hymne Veni Creator appelle la bénédiction de Dieu sur cette prise de possession, c'est aussi pour celà qu'on répéte les Litanies des Saints avec les solennelles invocatrions, que l'Evêque après deux oraisons et pendant le chant du Benedictus grave sur le pavet les deux alphabets grec et latin.
 
Dédicace croix
 
II Lustration de l'autel et de l'Eglise
 
                  Tout ce qui a été fait jusqu'ici n'est qu'un préambule de la cérémonie, c'est la prise de possession de l'édifice au nom de Dieu. Maintenant commence l'oeuvre de la purification pour laquelle l'Evêque implore le secours d'En-Haut, par une invocation trois fois répétée.
              
                    1 Préparation de l'eau lustrale. Eau bénéite pour la purification extérieure ne suffit plus. Il faut une eau spéciale dans lequelle entrent les éléments du sel (symbole de la doctrine incorruptible), des cendres (symbole de la pénitence) et du vin (symbole de la divinité du Sauveur).Les rituels de date postérieure ont appelé cette eau, eau grégorienne. Pour sa bénédiction, le Pontifical romain contient de nouvelles formules, l'exorcisme et la bénédiction. de l'eau disent la vertu de l'eau pénétrée d'une efficacité divine par le baptême du Sauveur. Après que le pontifie a marqué de la croix la porte intérieure de l'église, il est question de l'ange gardien des sanctuaires où Dieu veut habiter.
            
                     2 Lustration de l'autel. Elle commence par la récitation de l'ancienne Introibo et du psaume Judicame, que le prètre dit au début de chaque messe avant de monter à l'autel.L'Evêque monte ensuite à l'autel pour y marquer de l'eau lustrale les croix gravées sur la table, la croix du milieu rappelle plus spécialement la passion de Jésus, les quatre autres aux quatres coins symbolisent l'efficacité universelle de son sacrifice. En y traçant une croix, le pontife prononce une parole de sanctification qui reviendra souvent sur les lèvres au cours de la cérémonie. Il conclut ce premier acte par une oraison qui rapelle l'acte de Jacob dressant un autel au Seigneur après la vision dont il fut favorisé. Pendant les septs tours qu'il fait pour l'aspersion de l'autel, le choeur chante l'antienne Asperges me et le psaume Miserere. Ces actes d'aspersion nous disent l'ardeur infatiguable que les Apôtres doivent apporter à la santification des âmes purifiées par leur ministre.
           
                   3 Lustration de l'église. Trois tours intérieurs sont accomplis pour l'aspersion des murs pendant que le choeur chante des antiennes psaumes. C'est en effet la purification extérieure ne suffit pas. Celle du dedans prépare la maison de Dieu où ses serviteurs goûteront la joie, contre lequelle les ennemis du Seigneur seront impuissants, à l'ombre de laquelle on trouvera toujours la puissante protection du Très-Haut. Puis le pavé est aspergé et comme lavé à fond pendant que le choeur chante les heureux effets de cet acte.
            
                   4 Préface consécratoire ou prière eucharistique. L'acte de lustration se termine par deux oraisons, dont la seconde tirée en partie du deuxième livre des Paralipomènes, servait autrefois de consécration. Elle est suivie aujourd'hui d'une autre formule consécratoire dont l'objet est de nous inspirer la plus grande vénération pour nos églises. C'est là, y est il dit, que les prêtres offrent le saint Sacrifice, que les fidéles viennent payer à Dieu le tribut de leurs péchés, relevés, guéris, comblés de toutes les grâces du ciel. Alors se prépare le ciment avec l'eau lustrale et le reste de cette eau est répendu à la base de l'autel.
 
III Translation solennelle des reliques
 
Relique
 
                       Le trône  étant préparé, le moment est venu d'aller chercher les maîtres ou plutôt Notre-Seigneur lui-même qui ne se sépare point de ses serviteurs, les saints martyrs. 
 
                   1 Point de départ et la procession jusqu'à l'entrée de l'église: Après une demande de purification du coeur qu'on retrouve sur les lèvres du prêtre a saint sacrifice de la messe, l'Evêque fait fumer l'encens devant les saintes reliques, des prêtres chargent sur leurs épaules le précieux fardeau et l'on se met en marche en chantant des antiennes ou des répons qui sont une invitation enthousiaste et pressante adressée à la personne même des saints. Puis retentit le psaume 94 qui est comme une prococation à la louange et, au milieu de ces acclamations, on entend une prière qui semble rappeler les guérisons opérées par le contact des saintes reliques. Le cortège arrive ainsi à l'entrée de l'église. 
 
                   2 Allocution du Pontife: Le peuple fidèle va être admis à rentrer dans l'édifice à la suite des saintes reliques. Les églises, y est-il dit sont vénérables, parce que les Hébreux ont eu leur sanctuaire en grande vénération, que les empereurs romains convertis au christianisme ont traduit leur respect pour les édifices sacrés par toutes sortes d'immunités et de privilèges. Le pontif fait lire par l'archidiacre deux décrets. Le premier contre les usurpateurs des biens de l'église, le second prescrivant le paiement des dîmes. La même préocupation lui fait interpeller le constructeur ou fondateur de l'édifice.A lui et à ses héritiers sera accordée la première place dans les processions, mais on veut savoir quel dot il assure à cette fiancée du Sauveur qu'est l'édifice sacré.
 
                    4 Entrée dans l'Eglise: Alors reprennent les chants de triomphe en l'honneur des saintes reliques, mais avant d'aller plus loin l'Evêque marque d'une onction avec le saint chrême la porte extérieure pour qu'elle soit vraiment l'entrée du salut et de la paix.  

 
 
IV Consécration de l'autel et de l'église
 
                      Cette acte constitue comme le point central de toute la cérémonie. Il se décompose lui-même en reposition des reliques et onction de la table d'autel, onction des murs de l'église, prière eucharistique ou consécratoire.  
   
                    1 Reposition des reliques et onctions de la table d'autel: La cérémonie s'accomplissaient autrefois dans le mystère et comme dans l'ombre, un voile séparait le sanctuaire du reste de l'église, les fidéles n'entendaient que les chants et les prières sans apercevoir ce qui faisait à l'autel. Une ouverture a été pratiquée préalablement au milieu de l'autel. C'est là que doivent reposer les saintes reliques comme dans un tombeau. L'Evêque fait à l'intérieur, des onctions avec le saint chrème, il y place ensuite le sacré dépot et scelle lui même la pierre qui ferme l'entrée du sépulcre. Cette pierre devra désormais ne plus former qu'un seil tenant avec la table d'autel, l'enlever ou la briser serait faire perdre à l'autel sa consécration. Pendant toute cette opération , le choeur chante des antiennes, Après quoi le pontife récite une oraison qui résume les voeux et les intentions de tous. Il marque d'une nouvelle onction du saint chrême la partie extérieure du tombeau et encense l'autel. L'encensement doit alors se continuer sans interruption jusqu'à la fin de l'acte de concécration.
                        Par trois fois le pontife marque d'une onction les cinq croix incrustées sur la table d'autel, les deux prmieres fois avec l'huile des catéchumènes, la troisième avec le saint chrême. A chaque oraison il répète la même formule, pendant ce temps le choeur chante des antiennes et des psaumes. Le pontife s'interrompt pour entonner un répons, encenser l'autel et dire une oraison. Pendant une quatrième antienne et un quatrième psaume, il répand sur toute la table et mêle ensemble l'huile des catéchumènes et le saint chrême pour que la pierre en soit tout imprégnée et toute pénétrée. On chante alors une cinquième antienne et un cinquiéme psaume, puis l'Evêque en une dernière formule exprime le résultat des onctions réptées. Jusqu'à ce moment les psaumes sont chantés sans Gloria Patri à la fin, comme pour marquer le caractère de purification.
 
                    2 Onctions des murs de l'église: Sur les murs on été gravées ou peintes des croix qui doivent être pour les générations futures une marque et une attestation de l'acte de consécration. Sur chacune de ces croix brûlent les cierges allumès dès le commencement de la cérémonie. L'Evêque vient faire une onction avec le saint chrême en prononçant une formule (Sanctificetur et consecretur hoc templum) et immédiatement après chaque, il encense la croix. Pendant ce temps le choeur exécute des antiennes, un psaume et des répons auxquels se mêlent cette fois le Gloria Patri et allelluia.  
                       L'Evêque revient ensuite à l'autel où par une antienne et plusieurs oraisons, il prépare les fumigations d'encens qui vont embraser et embaumer l'autel tout entier. C'est comme une oblation d'holcauste sur laquelle on appelle les flammes de l'amour divin. La combustion terminée on nettoie la table d'autel, le pontife y fait descendre les bénédictions du ciel en prère. 
 
                    3 Préface consécratoire:  Elle exprime la reconnaissance pour le choix que Dieu a daigné faire de ce temple sacré, le voeu réalisé dans son enceinte sous le regard des anges ce qu'Abraham et Jacob se proposaient d'obtenir le premier, par l'immolation de son fils, le second par l'autel érigé à l'endroit de sa vision céleste.Le tout se termine par l'antienne Confirma  hoc, le psaume Exurgat Deus, un chant de triomphe après le combat. Et enfin une dernière onction sur la partie antérieure de l'autel, sur les jointures, et deux oraisons pour attirer les regards favorables du Seigneur.
 
 Le rite actuel de la dédicace au point de vue symbolique
 
                      La cérémonie décrite dans les pages précédentes devait plus que toute autre donner occasion à des leçons pratiques et à des interprétations mystiques,pour ce motif, dès les premiers temps, une consécration d'église était toujours accompagnée d'un discours destiné à en expliquer le sens. Il serait trop long d'analyser ici tous les sermons prononcés en pareille circonstance, depuis d'Eusèbe à la dédicace de l'église de Tyr, en passant par les explications des Pères grecs et latins pour arriver à celle des liturgistes du moyen âge.
 

 
                      Retenons deux points principaux qui sont:
  • La dédicace d'une église est comme un baptême de l'édifice sacré.
  • Elle représente l'union entre Dieu et son temple matériel. 

           L'enseignement de la foi est présenté à l'âme paîenne dont le ministre de Dieu tâche d'ouvrir l'intelligence en la marquant du signe de la croix, c'est la période du catéchuménat. Tout ceci est symbolisé dans la cérémonie de la dédicace par:

  • Les douzes cierges allumés le long des murs représentent les douzes apôtres.
  • L'alphabet tracé au sol en forme de croix contenant  l'alphabet grec et latin.  Ils contiennent tous les éléments par lesquels est exprimée la divine doctrine, rappellent la simplicité de la foi que Notre-Seigneur envoya annoncer aux sages et aux puissants du monde.
  • L'enseignement pénétre dans l'intelligence par la vertu de la croix à mesure que l'on s'éloigne le prince des ténébres. C'est ce que marquent les troix coups frappés à la porte de l'église, la croix tracée sur le seuil, les alphabets tracés sur la croix de cendre
  • Les exorcismes et les prières
Commentaires